A l’issue des 4 demi-journées, chaque participant aura pu :
Nous concevons l’espace d’analyse de pratiques comme un lieu de parole et d’analyse qui
Nous veillerons à ce que la complexité des situations de travail puisse être élaborée en distinguant les différentes scènes qui la constituent :
Notre expérience nous fonde à penser que les cadres de proximité sont souvent le siège de contradictions fortes et de conflits de loyauté. L’analyse de pratiques permettra, entre autres, de partager l’éprouvé d’une pratique qui s’assume souvent de manière solitaire, dans les doutes et l’inconfort du positionnement intermédiaire (entre le terrain et les décisionnaires).
Garantir les conditions d’un tel travail, en particulier l’implication qu’il requiert, suppose
Une stabilité dans la composition des groupes, ce qui exclut pour les participants la possibilité de changer de groupe, une fois l’action engagée.
Formation sur le site de l'hôpital dans une salle adaptée à la taille du groupe, équipée d'un vidéoprojecteur, d'un paperbord et permettant des travaux de sous-groupes.
Formation en 4 demi-journées de 3 heures 30
Dans la conduite des séances, nous n’assumerons pas la position d’expertise ni d’arbitrage sur les pratiques décrites par rapport à un référentiel prescrit, mais nous permettrons à chacun d’explorer les relations qu’il entretient avec le prescrit, avec son équipe, avec les patients, avec ses collègues et sa hiérarchie.
Les affects liés à l’évocation des situations ou des interactions à l’intérieur du groupe seront pris en compte dans l’analyse et la compréhension des situations vécues. Ils ne sauraient être matière à une analyse psychologique des personnes.
Les apports conceptuels, lorsqu’ils arrivent, nourrissent l’analyse d’une situation ou concluent un temps de travail.
Elle est articulée autour des éléments principaux suivants :
* une écoute des individus et des collectifs de travail,
* des modalités d’analyse de situations afin de permettre aux participants, au regard de situations concrètes apportées par eux-mêmes, de mieux comprendre les enjeux individuels et collectifs de ces situations, d’identifier leurs zones de responsabilité et leurs marges de manœuvre.
Les 4 séances se déroulent sur un même modèle : une déclinaison de 5 phases successives.
La formation est accessible aux personnes en situation de handicap, visible ou non-visible.
Les personnes en situation de handicap ou la personne chargée de la formation pourra entrer en contact avec le formateur avant la formation (10-15 jours avant) afin d'échanger sur les modalités d'adaptation nécessaires aux bonnes conditions de déroulement de l'action de formation.
Public visé : Cadre de proximité
Format : Présentiel
Pré-requis : Avoir une expérience d'un an dans la fonction occupée
Modalités et délai d'accès : Délai d'accès : 3 mois à 6 mois, Entretien préalable d'analyse des besoins avec le Responsable Formation et/ou le manager, Formation INTRA, Formation présentielle, À distance possible, après étude de la faisabilité (conditions matérielles et techniques des participants)
Modalités d'évaluation : Questionnaire d’évaluation de l’atteinte des objectifs de la formation par le participant, Questionnaire de satisfaction de la formation (réponse aux attentes, utilité perçue)
Rythme : Séquencé, Sur mesure
Niveau de Formation : D - Autre formation professionnelle
Tarif formation HT : 2400,00 €Dans Bordeaux et son agglomération.
4.0 jour(s)
14.0 heure(s)
Résumé du programme
Le choix de la situation, qui sera travaillée pendant un temps annoncé d’environ 30 minutes, se fait à partir des propositions des membres du groupe. Faire l'expérience de formuler une demande au sujet d'une situation à soi est le début d'un travail pour la personne et pour le groupe. Le moment du choix de la situation qui sera travaillée est un moment structurant car c'est là que se manifeste ce qui traverse le groupe de collègues ou de pairs. L’intervenant peut décider de commencer par telle ou telle situation en fonction de l'intérêt qu'elle suscite pour les autres ou de l’urgence apparente pour la personne de prolonger son récit.
Une personne expose donc une situation qui lui est arrivée, quelle qu'elle soit, à la condition qu'elle soit en lien avec le travail de cadre de proximité. Nous l'écoutons sans l'interrompre. Elle s'exprime aussi longtemps qu'elle le souhaite sous la forme qu'elle souhaite. Il n'y a à ce moment-là aucune attente qu'elle le fasse de façon claire ou ordonnée. Le plus souvent ce récit dure de cinq à dix minutes. L’intervenant précise aux personnes que le fait de faire ce récit peut mobiliser des affects qui peuvent être dits mais pas nécessairement, il n'y a pas de registre à privilégier.
Lorsque le narrateur estime avoir terminé, la phase de questionnement débute. Les questions visent à éclaircir les points qui ont besoin de l'être pour que nous puissions partager le plus possible ce dont il est question. L’intervenant favorise les questions du groupe.
Celui ou celle qui le souhaite intervient pour exprimer ce qu'il a compris, à partir de lui et non depuis une position de savoir ou d’expertise. L’intervenant demande au groupe de prendre la précaution d'émettre des hypothèses. La personne qui a exposé écoute et note si elle le souhaite. L’intervenant, s’il le trouve pertinent pour le groupe, peut aussi émettre des hypothèses de compréhension, de réflexion, faire des apports conceptuels.
Après avoir exploré le plus possible de résonances et d'hypothèses et les avoir mises en perspective, nous tentons ensemble de dégager ce dont il a finalement été question pour ceux qui ont écouté. Nous le mettons en relation avec les grands enjeux de l'implication dans le travail de relation managériale ou dans le rapport à un groupe, une institution, etc. La parole est ensuite donnée à la personne qui a fait le récit, qui peut, si elle le souhaite, nous dire où elle en est après l'exploration de sa situation par le groupe. Nous pouvons le cas échéant dégager des pistes spécifiques pour la personne ou plus générales pour le groupe en termes d'action, de réflexion ou de lecture. Des objectifs individuels peuvent alors émerger.
Le choix de la situation, qui sera travaillée pendant un temps annoncé d’environ 30 minutes, se fait à partir des propositions des membres du groupe. Faire l'expérience de formuler une demande au sujet d'une situation à soi est le début d'un travail pour la personne et pour le groupe. Le moment du choix de la situation qui sera travaillée est un moment structurant car c'est là que se manifeste ce qui traverse le groupe de collègues ou de pairs. L’intervenant peut décider de commencer par telle ou telle situation en fonction de l'intérêt qu'elle suscite pour les autres ou de l’urgence apparente pour la personne de prolonger son récit.
Une personne expose donc une situation qui lui est arrivée, quelle qu'elle soit, à la condition qu'elle soit en lien avec le travail de cadre de proximité. Nous l'écoutons sans l'interrompre. Elle s'exprime aussi longtemps qu'elle le souhaite sous la forme qu'elle souhaite. Il n'y a à ce moment-là aucune attente qu'elle le fasse de façon claire ou ordonnée. Le plus souvent ce récit dure de cinq à dix minutes. L’intervenant précise aux personnes que le fait de faire ce récit peut mobiliser des affects qui peuvent être dits mais pas nécessairement, il n'y a pas de registre à privilégier.
Lorsque le narrateur estime avoir terminé, la phase de questionnement débute. Les questions visent à éclaircir les points qui ont besoin de l'être pour que nous puissions partager le plus possible ce dont il est question. L’intervenant favorise les questions du groupe.
Celui ou celle qui le souhaite intervient pour exprimer ce qu'il a compris, à partir de lui et non depuis une position de savoir ou d’expertise. L’intervenant demande au groupe de prendre la précaution d'émettre des hypothèses. La personne qui a exposé écoute et note si elle le souhaite. L’intervenant, s’il le trouve pertinent pour le groupe, peut aussi émettre des hypothèses de compréhension, de réflexion, faire des apports conceptuels.
Après avoir exploré le plus possible de résonances et d'hypothèses et les avoir mises en perspective, nous tentons ensemble de dégager ce dont il a finalement été question pour ceux qui ont écouté. Nous le mettons en relation avec les grands enjeux de l'implication dans le travail de relation managériale ou dans le rapport à un groupe, une institution, etc. La parole est ensuite donnée à la personne qui a fait le récit, qui peut, si elle le souhaite, nous dire où elle en est après l'exploration de sa situation par le groupe. Nous pouvons le cas échéant dégager des pistes spécifiques pour la personne ou plus générales pour le groupe en termes d'action, de réflexion ou de lecture. Des objectifs individuels peuvent alors émerger.
Le choix de la situation, qui sera travaillée pendant un temps annoncé d’environ 30 minutes, se fait à partir des propositions des membres du groupe. Faire l'expérience de formuler une demande au sujet d'une situation à soi est le début d'un travail pour la personne et pour le groupe. Le moment du choix de la situation qui sera travaillée est un moment structurant car c'est là que se manifeste ce qui traverse le groupe de collègues ou de pairs. L’intervenant peut décider de commencer par telle ou telle situation en fonction de l'intérêt qu'elle suscite pour les autres ou de l’urgence apparente pour la personne de prolonger son récit.
Une personne expose donc une situation qui lui est arrivée, quelle qu'elle soit, à la condition qu'elle soit en lien avec le travail de cadre de proximité. Nous l'écoutons sans l'interrompre. Elle s'exprime aussi longtemps qu'elle le souhaite sous la forme qu'elle souhaite. Il n'y a à ce moment-là aucune attente qu'elle le fasse de façon claire ou ordonnée. Le plus souvent ce récit dure de cinq à dix minutes. L’intervenant précise aux personnes que le fait de faire ce récit peut mobiliser des affects qui peuvent être dits mais pas nécessairement, il n'y a pas de registre à privilégier.
Lorsque le narrateur estime avoir terminé, la phase de questionnement débute. Les questions visent à éclaircir les points qui ont besoin de l'être pour que nous puissions partager le plus possible ce dont il est question. L’intervenant favorise les questions du groupe.
Celui ou celle qui le souhaite intervient pour exprimer ce qu'il a compris, à partir de lui et non depuis une position de savoir ou d’expertise. L’intervenant demande au groupe de prendre la précaution d'émettre des hypothèses. La personne qui a exposé écoute et note si elle le souhaite. L’intervenant, s’il le trouve pertinent pour le groupe, peut aussi émettre des hypothèses de compréhension, de réflexion, faire des apports conceptuels.
Après avoir exploré le plus possible de résonances et d'hypothèses et les avoir mises en perspective, nous tentons ensemble de dégager ce dont il a finalement été question pour ceux qui ont écouté. Nous le mettons en relation avec les grands enjeux de l'implication dans le travail de relation managériale ou dans le rapport à un groupe, une institution, etc. La parole est ensuite donnée à la personne qui a fait le récit, qui peut, si elle le souhaite, nous dire où elle en est après l'exploration de sa situation par le groupe. Nous pouvons le cas échéant dégager des pistes spécifiques pour la personne ou plus générales pour le groupe en termes d'action, de réflexion ou de lecture. Des objectifs individuels peuvent alors émerger.
Le choix de la situation, qui sera travaillée pendant un temps annoncé d’environ 30 minutes, se fait à partir des propositions des membres du groupe. Faire l'expérience de formuler une demande au sujet d'une situation à soi est le début d'un travail pour la personne et pour le groupe. Le moment du choix de la situation qui sera travaillée est un moment structurant car c'est là que se manifeste ce qui traverse le groupe de collègues ou de pairs. L’intervenant peut décider de commencer par telle ou telle situation en fonction de l'intérêt qu'elle suscite pour les autres ou de l’urgence apparente pour la personne de prolonger son récit.
Une personne expose donc une situation qui lui est arrivée, quelle qu'elle soit, à la condition qu'elle soit en lien avec le travail de cadre de proximité. Nous l'écoutons sans l'interrompre. Elle s'exprime aussi longtemps qu'elle le souhaite sous la forme qu'elle souhaite. Il n'y a à ce moment-là aucune attente qu'elle le fasse de façon claire ou ordonnée. Le plus souvent ce récit dure de cinq à dix minutes. L’intervenant précise aux personnes que le fait de faire ce récit peut mobiliser des affects qui peuvent être dits mais pas nécessairement, il n'y a pas de registre à privilégier.
Lorsque le narrateur estime avoir terminé, la phase de questionnement débute. Les questions visent à éclaircir les points qui ont besoin de l'être pour que nous puissions partager le plus possible ce dont il est question. L’intervenant favorise les questions du groupe.
Celui ou celle qui le souhaite intervient pour exprimer ce qu'il a compris, à partir de lui et non depuis une position de savoir ou d’expertise. L’intervenant demande au groupe de prendre la précaution d'émettre des hypothèses. La personne qui a exposé écoute et note si elle le souhaite. L’intervenant, s’il le trouve pertinent pour le groupe, peut aussi émettre des hypothèses de compréhension, de réflexion, faire des apports conceptuels.
Après avoir exploré le plus possible de résonances et d'hypothèses et les avoir mises en perspective, nous tentons ensemble de dégager ce dont il a finalement été question pour ceux qui ont écouté. Nous le mettons en relation avec les grands enjeux de l'implication dans le travail de relation managériale ou dans le rapport à un groupe, une institution, etc. La parole est ensuite donnée à la personne qui a fait le récit, qui peut, si elle le souhaite, nous dire où elle en est après l'exploration de sa situation par le groupe. Nous pouvons le cas échéant dégager des pistes spécifiques pour la personne ou plus générales pour le groupe en termes d'action, de réflexion ou de lecture. Des objectifs individuels peuvent alors émerger.